
Title | : | Cadáver Exquisito (Premio Clarín 2017) / Tender Is the Flesh |
Author | : | |
Rating | : | |
ISBN | : | 842043342X |
Language | : | Español |
Format Type | : | Pasta blanda |
Number of Pages | : | 256páginas256páginas |
Cadáver Exquisito (Premio Clarín 2017) / Tender Is the Flesh Reviews
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Buen inicio, con una visión perturbadora del futuro, pero la historia en general y el final no están a la misma altura. Una buena lectura pero lamentablemente yo iba con las expectativas muy altas.
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Un muy buen libro, entra al lector en el dilema de lo correcto y la necesidad. Me gusto mucho. Se los recomiendo si quieren tener un punto de vista diferente de la humanidad, de lo que somos en esencia y un posible futuro.
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Aunque el tema puede horrorizar, lo más denso son las escenas de violencia sexual en ocasiones gratuitas. Esas escenas se parecen a las típicas que escriben hombres pensando que es súper sexy romantizar una violación. No entiendo por qué una mujer hizo lo mismo.
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Il libro è in spagnolo e non direi proprio di livello base ma fattibile con traduttore alla mano. Al termine della storia tanto da pensare e tosto da digerire
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No recomendado para lectores sensibles.
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L'Argentine Agustina Bazterrica a jusqu'ici plutôt pratiqué le conte (à côté d'activités en arts plastiques). Cet ouvrage, son second roman, la situe dans la continuité de plusieurs de ses compatriotes (Bioy Casares et "La guerre des cochons", Cortázar et "Les gagnants", par exemple), capables de concevoir (et de montrer) une des possibilités inquiétantes dormantes dans notre réalité. Ici, c'est l'extinction des espèces animales dont nous nous nourrissons qui débouche, non sur une société "végane" mais sur un cannibalisme institutionnel. H.G.Wells l'a déjà fait ("The Time Machine"), au profit des Morlocks (métaphore de la revanche des ouvriers sur les bourgeois). Bazterrica, loin de la lutte des classes, montre un "homo homini proteina" (plutôt "femina homini proteina", d'ailleurs) d'autant plus glaçant qu'elle use d'un style très dépouillé, où les actes, gestes et paroles des personnages sont rapportés avec une précision, une clarté et une sécheresse proches d'un rapport de labo (elle m'a fait penser à Houellebecq) et où le narrateur (narratrice ?) s'abstient d'intervenir. Après lecture, comme ni la romancière ni le narrateur n'ont la gentillesse de nous dire ce qu'ils attendent de nous, lecteurs et lectrices sont livrés aux pensées suscitées par le récit. Moi, c'était : "En sommes nous vraiment déjà là ?"
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Si te van las historias terribles, bienvenid@ a la pesadilla.
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Libro lleno de pegamento, con la portada perforada y arañada